NOTICE ET CONSEILS DE POSE TRADITIONNELLE POUR UN DALLAGE EN PIERRE NATURELLE

 

Mesdames, Messieurs,

Vous souhaitez ou venez d’acquérir un de nos dallage en pierre naturelle de Bourgogne et vous désirez le mettre en œuvre vous-même. Nous vous remercions de bien vouloir trouver ci-dessous quelques conseils simples pour vous permettre d’en tirer la quintessence.

Cette notice se décompose en six parties :

1. La pose et le choix des ciments pour la pierre
2. La pose en sol extérieurs
3. La protection des pierres posées
4. L’entretien intérieur
5.L’entretien extérieur
6.L’enlèvement urgent des tâches accidentelles

 

Tout d’abord un choix judicieux s’impose en fonction de l’utilisation et du trafic envisagé. Ce choix de pierre sera déterminant pour le bon comportement de la pierre en elle-même, pour son entretien courant et pour sa durée de vie.

Puis viendra le choix de l’esthétique, du format, de l’épaisseur et de la finition.

1. La pose et le choix du ciment et sable pour composition du mortier de pose

 

il est fortement conseillé de ne pas utiliser n’importe quel ciment. Utiliser de préférence des ciments artificiels.

Vous pouvez aussi utiliser les ciments haute teneur en silice appelé couramment H.T.S ou des ciments exempts d’alcalis. Ils ont très souvent utilisés par les poseurs qualifiés.

Attention  si vous utilisez des ciments contenant des alcalis, ils risquent de dissoudre très rapidement les matières organiques contenues dans la pierre et provoquer des tâches de couleurs diverses.

Pour le choix du sable entrant dans la composition du mortier de pose et dans la couche de désolidarisation, il est préférable d’utiliser un sable de rivière propre, lavé et non terreux, ou un sable calcaire de carrière ou taillerie. Il est impératif de ne pas utiliser un sable sale ou un sable de carrière jaune dit sable à lapin. Cette solution peut s’avérer désastreuse pour la pierre en elle-même, car pendant la prise du mortier de pose, l’eau contenu dans celui-ci s’évapore au travers des pores de la pierre et entraîne avec elle les matières en suspension et les sels dissous.

Ceux-ci se résolvent en une matière pulvérulente ou efflorescences s’accumulent peu à peu en surface et forment des tâches très difficiles à éliminer.

Certaines précautions sont à prendre avant d’étaler le mortier de pose directement sur le support béton. Si la pièce à traiter ne se situe pas à l’étage ou ne dispose pas d’un vide sanitaire, et afin d’éviter toute remontée d’humidité, il est fortement conseillé de prévoir la mise en place (sur toute la surface de la pièce et contre les murs sur une dizaine de centimètres de hauteur) d’un film plastique étanche.

Nous ne pouvons pas comparer la pose d’un carrelage et la pose d’un dallage. Tous les carreaux de carrelage sont identiques, fabriqués industriellement et artificiellement. Alors que la pierre est un matériau naturel pouvant comporter des tonalités différentes, quelquefois des petites défectuosités, des petites veines cristallines appelées couramment verriers. Ceux-ci font partie intégrante de la pierre mais souvent considérés, à tort, comme un défaut. Pour cela il sera probablement nécessaire de faire une petite sélection des plus belles dalles. Les dalles semblant le moins esthétiques pourront être posées aux endroits les moins visibles comme par exemple sous un évier, sous un meuble, derrière une porte, dans un placard. Surtout, avant la pose, il ne faudra pas trier et séparer les dalles claires, des dalles plus foncées. Bien au contraire, dans les pierres nuancées, le poseur devra prendre soin de bien mélanger les différentes couleurs de façon à ne pas retrouver les dalles les plus claires d’un côté et les dalles les plus foncées de l’autre.

Pour une pose traditionnelle au mortier de pose, il faudra prévoir au minimum une réservation d’environ 5 à  cm y compris l’épaisseur de la pierre qui est généralement de 2 cm. Certains poseurs prévoient aussi une couche de sable de désolidarisation d’environ 2 cm, cette couche permet lorsqu’il n’y a pas de dalle flottante, de désolidariser la partie à poser du support béton et de la construction ; afin d’éviter au mortier de pose et par conséquent à la pierre de se lézarder. Car nous savons bien que toute construction subit des mouvements de terrain, des déformations mécaniques ou thermiques.

Le partage de bas en haut sera donc le suivant : environ 1 à 2 cm de sable, 2 à 3 cm minimum de mortier de pose, 2 cm de pierre.

Avant de débuter la pose, il est préférable de s’implanter dans les deux plus grandes longueurs de la pièce afin d’avoir le moins de perte possible (perte approximative : entre 5 et 10%). Certaines poses nécessiteront une implantation dans l’axe de la pièce. D’autres constructions nécessiterons une implantation au bord du joint de dilatation.

 

Afin de commencer correctement la pose, quelques cotes prises dans la pièce et un tracé reporté sur un croquis feront l’affaire pour vous donner un aperçu.

 

Étaler le mortier de pose et mettre la dalle bien en place.

 

A l’aide d’un maillet procéder par petites frappes sur la dalle afin  de l’enfoncer légèrement et d’écraser le mortier de pose tout en vérifiant que celle-ci soit de niveau.

Certains poseurs préféreront retirer la dalle de nouveau et saupoudrer avec du ciment pur, puis le mouiller à l’aide d’une éponge et remettre la dalle en place. Ceci afin d’être sûr que la dalle soit bien scellée.

 

A ce moment là, la dalle est définitivement posée. Vous ne devez pas la retoucher.

 

A l’aide d’une éponge propre et d’eau propre, il est conseillé de laver le dallage au fur et à mesure que l’on avance dans la pose. La pierre qui vient d’être mise en place faisant ventouse ne risque pas de bouger.

           

Pour la composition des joints, chaque poseur a son petit secret, malgré tout, des produits prêt à l’emploi sont disponibles chez tous bons marchands de matériaux. On peut aussi faire le choix d’un mélange à base de chaux blanche + ciment blanc + mélange de sable pour lui donner un aspect ou une couleur ton pierre.

 

Vous avez aussi la possibilité d’utiliser des mortiers pour jointoiement de dalles de type Kéracolor de chez MAPEI ou équivalent. Disponibilité dans plusieurs colories différents selon les fabricants. Application à la spatule en plastique ou à l’éponge. A traiter joint par joint sans couler.

 

Pour l’exécution de joints réguliers, il vous suffira d’utiliser des croisillons que vous pourrez disposer facilement. Un minimum de 2 millimètres de joints est nécessaire lors de la pose.

 

Certains poseurs souhaiterons des joints inférieurs à 2 mm (c’est à dire le joint marbrier bord à bord soit environ 1 mm) mais le risque de dalles sans balèvres ou épaufrures augmente à cause de la mise en compression du mortier de pose lors du séchage de celui-ci. A ce moment, le joint se referme partiellement et éclate le bord supérieur de la pierre.

Pour les dallages finition chants tailles mains ou à bords irréguliers, une largeur de joint d’environ 4 à 5 mm sera nécessaire.

Certains poseurs préféreront remplir les joints en même temps qu’il pose les dalles. Cela est possible mais nécessite une plus grande expérience de la pose.

d’autres reviendrons sur le chantier un ou deux jours plus tard pour faire les joints. Surtout, ne pas couler les joints comme un carrelage, comme le font habituellement les carreleurs pour du carrelage, à l’aide d’une raclette en caoutchouc. Vous allez remplir inutilement les pores de la pierre avec le ciment à joint ou autre produit utilisé. Bien sûr cela fait gagner énormément de temps mais un tel procédé va souiller la pierre, la tâcher, la rendre terne et sans éclat. Par la suite, elle ne pourra pas prendre sa patine naturelle à cause du ciment imprégné dans les pores. A ce moment, la seule et unique solution sera un ponçage au sol à l’aide d’une ponceuse à eau. Le problème majeur reste que vous ne retrouverez jamais une finition adoucie et une planimétrie aussi parfaite que sur les polissoirs en usine.

Pour une pose en extérieur, il est préférable de prévoir la pose de la pierre dans des conditions climatiques normales. Entre environ +5°C minimum et +25° C. Ne pas poser par très forte chaleur ou par gel.

 

La pose collée avec mortier colle à prise standard pour revêtement mural intérieur et extérieur ou revêtement de sol pourra être utilisée sous forme de double encollage à l’aide de KERAFLEX ou KERABON des chez MAPEI ou équivalents sont disponibles sous forme de poudre en sacs de 5 ou 25 kg de couleur grise ou blanche. Délai de jointoiement après pose des dalles variant de 24 à 48 heures.

Renseignez vous auprès de votre marchand de matériaux, certains mortiers colles offrent deux emplois pour le ragréage et collage, d’autres sont uniquement prévus pour l’intérieur et non l’extérieur.

 

 

2. La pose en sol extérieur :

 

 

La pose traditionnelle pour les pierres naturelles avec mortier de pose adhérent sur support ou dalle béton consiste d’abord à savoir déjouer les caprices de la météo. Le poseur devra être très bien informé concernant les conditions climatiques. Le départ du chantier devra impérativement se faire à l’abri de la pluie, de préférence de fin mars à octobre

 

En règle générale, on ne pose pas n’importe quelle pierre en revêtement de sol extérieu, uniquement celles conformes aux normes définies par les D.T.U.

 

Vous pouvez également vous baser sur les tests de gélivité de laboratoire qui définissent les pierres ayant une résistance au gel de environ 200 à 240 cycles de gel et dégel consécutifs sans altération.

 

Avant la mise en place, il faut bien vérifier que les pierres soient dépoussiérées.

Afin d’éviter un dessèchement trop rapide du mortier de pose, on peut procéder à un balayage humide sur les pierres sèches ou à une immersion. Sur les pièces imbibées d’eau, il sera préférable de les laisser sécher quelques temps car  trop d’eau peut nuire à l’adhérence entre a pierre et le mortier de pose. Les différentes coupes et ajustages pourront se faire à l’aide d’une meuleuse ou disqueuse munie d’un disque diamanté.

La pose traditionnelle au mortier reste la plus adaptée pour les dallages dont les écarts d’épaisseurs peuvent varier de plusieurs millimètres.

En effet, lors de la découpe des blocs de pierre grâce aux lames diamantées des châssis, et suite aux changements de ces lames, vous pourrez trouver des écarts d’épaisseur.

La tolérance maximale étant de environ plus deux millimètres à moins deux millimètres.

Par exemple un dallage de 2 cm pourra varier de environ 1,8 cm d’épaisseur minimum à 2,2 cm d’épaisseur maximum.

La règle principale à respecter est de poser à l’abri du gel, des pluies, des fortes chaleurs et des vents desséchants. Les dallages en béton sur terre-plein doivent comporter une barriere contre les remontées capillaires et un drainage périphérique. En construction neuve, il convient d’attendre impérativement  mois de séchage avant la pose. La pente à respecter est d’environ  à  cm au mètre minimum pour tous les chantiers. Elle doit être supérieure dans le cas d’aménagements urbains (type voies piétonnes, esplanades), pour les plages de piscines et en montagne.

Pour les liants, on peut utiliser un ciment gris (pour exemple : Multibat de chez Lafarge ou équivalent, si la pierre n’est pas sensible aux tâches. Pour les pierres plus sensibles, il faut favoriser l’emploi systématique d’un ciment blanc ou à basse teneur en alcalins. Lorsque l’on en trouve, le ciment H.T.S. convient également. Le lit de pose est préparé par poudrage du mortier et humidification.

 

La règle d’or pour tous les mortiers, très importante si l’ouvrage est à l’extérieur, est d’éviter tout excès d’eau de gâchage, excès qui est en général la cause directe de l’affaiblissement de sa résistance (fissuration) et de la diminution de son imperméabilité. En moyenne, les dosages en liant indiqués pour les pierres sont de 350 à 400 kg par m³.

Notez que le sous-dosage associé à un mauvais drainage des eaux d’écoulement est souvent l’origine de sinistres. Il provoque la stagnation et la pénétration de l’eau dans les mortiers, puis des descellements après plusieurs cycles de gel et dégel. Dans les aménagements urbains, en général tout est prévu au mieux pour la collecte et l’évacuation des eaux, avec notamment des pentes accentuées. Au soleil, il est préférable de sceller sur mortier frais avant raffermissement, et par fortes chaleurs, de travailler aux heures les moins chaudes de la journée.

Une fois le mortier appliqué en épaisseur variable de 3 à 6 cm, pierre à pierre ou par bandes, on étale aussitôt une barbotine de ciment blanc pur, on applique la dalle puis on procède à son battage pour mise à niveau et mise en place.

Vous aurez aussi la solution de faire un poudrage au ciment au lieu du barbotinage. Celui-ci doit être suffisant et régulier, suivi d’une humidification sans excès.

 

Afin qu’il n’y ait pas de détérioration du revêtement fraîchement posé, nous vous conseillons d’interdire l’accès à la surface avant jointoiement durant 48 h.

 

La pose collée avec mortier colle à prise standard pour revêtement mural intérieur et extérieur ou revêtement de sol pourra être utilisée sous forme de double encollage à l’aide de KERAFLEX ou KERABON des chez MAPEI ou équivalents sont disponibles sous forme de poudre en sacs de 5 ou 25 kg de couleur grise ou blanche. Délai de jointoiement après pose des dalles variant de 24 à 48 heures.

Renseignez vous auprès de votre marchand de matériaux, certains mortiers colles offrent deux emplois pour le ragréage et collage, d’autres sont uniquement prévus pour l’intérieur et non l’extérieur.

 

Pour résumer en quelques mots les règles simples à respecter pour la pose de sol en extérieur :

 

Faire attention à la météo lors de la pose

Prévoir une pente de 2 cm au mètre pour évacuation des eaux de pluie

Jointoiement parfaitement réalisé pour une pose traditionnelle (surtout non coulé)

 

 

 3. La protection des pierres posées :

 

Dans tous les cas, il est impératif, une fois que le dallage vient d’être posé, de le protéger tant que tous les corps d’états ne sont pas intervenus. Au minimum il faut étaler sur toute la surface du dallage un film plastique ou plaques de bois ou polystyrène pour éviter toute souillure de produit provenant d’autres artisans tel que le peintre, le plombier, le menuisier, le plâtrier …

 

Juste avant de réaménager la pièce, nous vous conseillons, afin de protéger votre dallage, d’y appliquer (uniquement à l’intérieur) un traitement adapté à la nature de votre pierre, en vente sur notre site et issu d’une recherche élaborée avec notre fournisseur (Lustrapores et/ou  Lustrapierre). Il imperméabilise partiellement la pierre tout en la laissant respirer. Il permet en cas de tâches accidentelles d’essuyer rapidement sans que cette tâche ne s’imprègne au cœur de la pierre. Ces produits foncent légèrement le matériau, ravivent les couleurs, et durcissent la pierre en surface.

 

 

4. L'entretien intérieur :

 

En fin de chantier, le poseur aura normalement exécuté un nettoyage sommaire, mais nous vous conseillons d’y revenir une fois que tous les corps d’états seront intervenus et avant de remettre en place le mobilier. Il est impératif d’aspirer minutieusement toutes les pièces traitées afin d’enlever toute poussière résiduelle et de laver très régulièrement votre dallage à l’eau claire (sans aucun produit) à l’aide d’une serpillière et d’un balai brosse jusqu’à ce que l’eau reste claire lors de l’essorage.

 

Au fil du temps, grâce à cet entretien régulier, la pierre va prendre sa patine. Grâce à l’eau de lavage, la formation d’une pellicule va apparaître. Cette pellicule de carbonate de calcium appelée couramment calcin naît d’une réaction chimique d’autodéfense du matériau. La pierre va se durcir en surface et s’auto-protéger. Puis prendra peu à peu un brillant naturel plus ou moins accentué en fonction de la dureté de cette pierre.

 

Pour cela, nous vous rappelons qu’il est impératif de ne pas utiliser de produits anticalcaires, de produits détergents agressifs, d’acide ou tout autre produit qui risque d’enlever ce calcin. Quelquefois, dans l’année, l’utilisation de produits neutres et non agressifs de type savon de Marseille en paillettes ou copeaux peut être utilisés sans soucis. Pour un nettoyage au quotidien, utiliser uniquement de l’eau claire, mélangé à du savon noir liquide.

 

 

 5. L’entretien extérieur :

 

Surtout nous vous conseillons de ne pas utiliser de nettoyeur haute-pression, car vous risquez d’ouvrir les pores de la pierre, et irrémédiablement la détériorer. De ce fait, la pierre va s’encrasser de plus en plus rapidement. Il est vrai que par principe, les aménagements extérieurs en pierre, de part leur orientation à la pluie, de part leur environnement à proximité de pelouses, d’arbres, ou d’autres végétations, et en fonction des saisons, peuvent verdir ou noircir avec l’apparition de mousse ou de tâches. A ce moment là, utiliser uniquement de l’eau de javel, appliquer au  pulvérisateur ou avec un balai brosse, laisser agir pendant au moins 20 à 30 minutes puis éventuellement rincer à l’eau claire. Sur les tâches persistantes, répéter l’opération.

 

 

 6. Enlèvement urgent des tâches accidentelles :

 

Par exemple : pour de l’huile, du vin, de la graisse, ...etc

 

De préférence les essuyer immédiatement sans attendre, ce qui les laisserait pénétrer.

Ensuite, sur ces tâches, appliquer d’urgence du plâtre à modeler, gâcher avec très peu d’eau. A la consistance d’une crème dentifrice molle. En appliquer une couche d’environ 2 cm d’épaisseur tout en dépassant d’environ 1 cm autour de la tâche. Donner à ce plâtre, en appuyant avec votre pouce au milieu, la forme d’une petite coup, avec des bords d’une hauteur à peu près régulière.

Attendre une demi-heure. Puis dans le creux du plâtre entre temps durci,verser un peu dissolvant convenable pour les produits qui a tâché. Ci-dessous quelques exemples :

 

- pour une tâche d’huile ou de graisse                      : Trichloréthylène

- pour une tâche d’huile de lin ou peinture à l’huile : Trichloréthylène

- pour une tâche de colorant                                      : Eau de javel

- pour une tâche de vin                                              : Alcool à 70° ou 90°

- pour une tâche de fruit                                            : Acétone (ou dissolvant à vernie à ongle)

- pour une tâche de peinture glycérophtalique          : diluant glycérophtalique

 

Suivant la température, attendre environ 30 minutes afin que le dissolvant se soit évaporé et que le plâtre soit redevenu sec. Recommencer l’opération en remplissant de nouveau la coupe en plâtre de dissolvant.

Enlever le plâtre avec un grattoir en bois, la tâche aura probablement disparue.

Si la tâche n’est pas partie, refaire une nouvelle coupe en plâtre et recommencer les opérations. Sur les tâches d’huile de lin, les plus difficiles à enlever, il faut agir très tôt et insister.

 

En aucun cas, nous ne pourrions être rendu responsable en cas de transformation de nos produits finis, du non respect de la pose dans les règles de l’art et de la mauvaise utilisation qui en sera faite.

Aucune réclamation ne sera donc acceptée après la fourniture

Cette liste non exhaustive de conseils vous est donnée à titre purement indicatif car chacun peut avoir sa propre méthode. Cette notice n’engage en aucun cas la responsabilité de la Sarl Le Marché de la pierre.

 

 

 

 


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